Quelques textes écrits par Christian JAGORD, auteur de poèmes, chansons, etc ...
(10) L'hommage à mon ami Claude BARZOTTI
Oh Claude, toi dont la voix, douce et éraillée,
Résonnait comme un murmure d’émotions partagées,
Toi qui portais l'Italie dans tes veines,
Et la France dans ton âme,
Parti trop tôt, comme une étoile filante
Qui s’éteint avant de toucher l’horizon.
Les souvenirs, comme des éclats de lumière,
Dansent encore au creux de nos cœurs.
“Madame”, “Aime-moi”, “Le Rital”…
Les mots que tu chantais nous berçaient,
Nous portaient loin, là où la mélancolie se fait douce.
Ta voix, un soupir d’amour, fragile et sincère,
Se glissait dans nos vies comme un secret partagé,
Éveillant des souvenirs, des sentiments enfouis.
L’artiste, le chanteur, l’homme :
Un artiste rare, au cœur si grand,
Plein d’humour, de sincérité, de générosité.
Sur scène, tu étais un poète des émotions,
Un homme qui savait faire briller l’étreinte des âmes.
On se souvient de toi, entre les rires et les silences,
De nos tournées, de nos moments volés au temps,
Dans cette complicité d’amis, simple et précieuse.
C’est toi qui portais l’éclat de la tendresse,
Celui qui savait transformer la douleur en poésie.
Tu chantais l’amour, le désir, la nostalgie,
Avec cette voix, à la fois douce et écorchée,
Qui laissait un goût amer de beauté inachevée.
Et maintenant, ton absence résonne dans le silence,
Comme une mélodie suspendue,
Comme un dernier refrain,
Comme une promesse qui ne s’est jamais tenue.
Tu nous manques, Claude, mais ta musique restera,
En nous, vibrante, comme une étincelle de vie.
Résonnait comme un murmure d’émotions partagées,
Toi qui portais l'Italie dans tes veines,
Et la France dans ton âme,
Parti trop tôt, comme une étoile filante
Qui s’éteint avant de toucher l’horizon.
Les souvenirs, comme des éclats de lumière,
Dansent encore au creux de nos cœurs.
“Madame”, “Aime-moi”, “Le Rital”…
Les mots que tu chantais nous berçaient,
Nous portaient loin, là où la mélancolie se fait douce.
Ta voix, un soupir d’amour, fragile et sincère,
Se glissait dans nos vies comme un secret partagé,
Éveillant des souvenirs, des sentiments enfouis.
L’artiste, le chanteur, l’homme :
Un artiste rare, au cœur si grand,
Plein d’humour, de sincérité, de générosité.
Sur scène, tu étais un poète des émotions,
Un homme qui savait faire briller l’étreinte des âmes.
On se souvient de toi, entre les rires et les silences,
De nos tournées, de nos moments volés au temps,
Dans cette complicité d’amis, simple et précieuse.
C’est toi qui portais l’éclat de la tendresse,
Celui qui savait transformer la douleur en poésie.
Tu chantais l’amour, le désir, la nostalgie,
Avec cette voix, à la fois douce et écorchée,
Qui laissait un goût amer de beauté inachevée.
Et maintenant, ton absence résonne dans le silence,
Comme une mélodie suspendue,
Comme un dernier refrain,
Comme une promesse qui ne s’est jamais tenue.
Tu nous manques, Claude, mais ta musique restera,
En nous, vibrante, comme une étincelle de vie.
Auteur : Christian JAGORD (texte déposé N° D55465-18414)
Notre ami Claude né le 23.07.1953 est décédé le 23/06/2023 des suites d’un cancer.
(9) Hymne à la Costa Blanca…
Sous le ciel éclatant de la Costa Blanca,
S’étend un doux pays où le rêve s'ancre.
Les champs d'orangers, d’amandiers florissants,
Offrent leurs fruits d'or aux doux vents caressants.
Les citronniers chantent sous l'azur brûlant,
Leurs parfums s’élèvent, enivrent le passant.
Les oliviers centenaires, gardiens du temps,
Veillent sur les collines, secrets des amants.
Des plages infinies aux sables si dorés,
S’étirent langoureuses sous le soleil doré.
Trois cents jours de lumière, un paradis béni,
Où l’hiver est un conte, l’été une symphonie.
Torrevieja, douce ville que j'adore,
Respire la mer, invite au voyage encore.
Alicante, reine, au château dominant,
Conte l’histoire ancienne de ce peuple charmant.
Elché, en son oasis, sous le ciel si pur,
Fait fleurir les palmiers, éternels murmures.
Les pierres des églises, les tours imposantes,
Gardent en leur sein l'âme de l’Espagne ardente.
Chaque rue, chaque place, est un écrin d’histoire,
Chaque pierre, chaque mur, un trésor à voir.
Les fêtes éclatent, joyeux carillons,
Dans ce coin béni, le cœur en fusion.
Gastronomie exquise, délice des gourmets,
Fruits de la mer, saveurs à jamais aimées.
La Costa Blanca, terre de passions,
Est un Eden sur Terre, un chant d'émotions.
Costa Blanca, perle au cœur de l’Espagne,
Sous ton ciel bleu, tout rêve se gagne.
Ton éclat, ta chaleur, ton âme envoûtante,
Font de toi le joyau d’une Espagne éblouissante.
S’étend un doux pays où le rêve s'ancre.
Les champs d'orangers, d’amandiers florissants,
Offrent leurs fruits d'or aux doux vents caressants.
Les citronniers chantent sous l'azur brûlant,
Leurs parfums s’élèvent, enivrent le passant.
Les oliviers centenaires, gardiens du temps,
Veillent sur les collines, secrets des amants.
Des plages infinies aux sables si dorés,
S’étirent langoureuses sous le soleil doré.
Trois cents jours de lumière, un paradis béni,
Où l’hiver est un conte, l’été une symphonie.
Torrevieja, douce ville que j'adore,
Respire la mer, invite au voyage encore.
Alicante, reine, au château dominant,
Conte l’histoire ancienne de ce peuple charmant.
Elché, en son oasis, sous le ciel si pur,
Fait fleurir les palmiers, éternels murmures.
Les pierres des églises, les tours imposantes,
Gardent en leur sein l'âme de l’Espagne ardente.
Chaque rue, chaque place, est un écrin d’histoire,
Chaque pierre, chaque mur, un trésor à voir.
Les fêtes éclatent, joyeux carillons,
Dans ce coin béni, le cœur en fusion.
Gastronomie exquise, délice des gourmets,
Fruits de la mer, saveurs à jamais aimées.
La Costa Blanca, terre de passions,
Est un Eden sur Terre, un chant d'émotions.
Costa Blanca, perle au cœur de l’Espagne,
Sous ton ciel bleu, tout rêve se gagne.
Ton éclat, ta chaleur, ton âme envoûtante,
Font de toi le joyau d’une Espagne éblouissante.
Auteur : Christian JAGORD (10.08.2024 texte déposé n° D54943-18414)
(8) Fiorilége Corsarménie
Sous le ciel d’azur de la Corse infinie,
Où les vagues chantent en douce harmonie,
Mon cœur voyage vers l’Arménie lointaine,
Où la montagne murmure des poèmes anciens.
L'éternité dans un souffle de vent,
Des souvenirs se glissent doucement,
Des montagnes sacrées aux rivages dorés,
Nos âmes liées pour l'éternité.
Dans le silence des nuits étoilées,
Je sens ton amour, douce mélodie,
De Corse à l’Arménie, loin des sentiers,
Nos cœurs s’enlacent pour l’éternité.
Les pins et les cèdres murmurent des serments,
Sous le ciel clair, deux âmes s’entrelacent,
Ton regard me guide, lumière au firmament,
Notre amour gravé dans l'espace.
Les rivières chantent notre histoire d’or,
Des montagnes fières aux océans forts,
Des terres anciennes aux cœurs enlacés,
Amour et temps ne peuvent nous séparer.
Sur les routes du temps, main dans la main,
Nous marcherons ensemble sans fin,
Nos âmes, libres, voguent à travers les âges,
Notre amour, éternel, brave les orages.
Au-delà des frontières et des mers bleues,
Nos cœurs se cherchent, se trouvent heureux,
De Corse à l’Arménie, en ce doux voyage,
L’amour, toujours, est notre ancrage.
L'éternité nous attend, lumineux destin,
Notre amour éclaire chaque chemin,
Sous les étoiles de Corse et d’Arménie,
Pour toujours, tu es ma douce harmonie.
Où les vagues chantent en douce harmonie,
Mon cœur voyage vers l’Arménie lointaine,
Où la montagne murmure des poèmes anciens.
L'éternité dans un souffle de vent,
Des souvenirs se glissent doucement,
Des montagnes sacrées aux rivages dorés,
Nos âmes liées pour l'éternité.
Dans le silence des nuits étoilées,
Je sens ton amour, douce mélodie,
De Corse à l’Arménie, loin des sentiers,
Nos cœurs s’enlacent pour l’éternité.
Les pins et les cèdres murmurent des serments,
Sous le ciel clair, deux âmes s’entrelacent,
Ton regard me guide, lumière au firmament,
Notre amour gravé dans l'espace.
Les rivières chantent notre histoire d’or,
Des montagnes fières aux océans forts,
Des terres anciennes aux cœurs enlacés,
Amour et temps ne peuvent nous séparer.
Sur les routes du temps, main dans la main,
Nous marcherons ensemble sans fin,
Nos âmes, libres, voguent à travers les âges,
Notre amour, éternel, brave les orages.
Au-delà des frontières et des mers bleues,
Nos cœurs se cherchent, se trouvent heureux,
De Corse à l’Arménie, en ce doux voyage,
L’amour, toujours, est notre ancrage.
L'éternité nous attend, lumineux destin,
Notre amour éclaire chaque chemin,
Sous les étoiles de Corse et d’Arménie,
Pour toujours, tu es ma douce harmonie.
Auteur : Christian JAGORD (10.08.2024 texte déposé n° D54943-18414)
(7) L'éclat de l’aube (hommage aux infirmières)
Sous la lueur de l'aube, infirmières en armure,
Veillent sur les vies fragiles, avec tant de murmures.
Anges blancs des hôpitaux, gardiennes de l'espoir,
Leurs mains sont des étoiles, guérissant chaque soir.
Au cœur des épreuves, sur le front de la bataille,
Infirmières au combat, leur dévouement scintille.
Blouses blanches comme des ailes, volant dans la nuit,
Leur mission sacrée, écrire des destins qui s'évitent.
Sur le chemin des douleurs, elles sont des phares,
Des sorcières bienveillantes, chassant les cauchemars.
L'aiguille de la guérison, dans leurs doigts précis,
Coud les plaies de la nuit, comme des fils de répit.
Dans le silence des couloirs, résonne leur douce voix,
Chuchotant des consolations, éloignant le froid.
Des murmures d'espoir, dans l'ombre des souffrances,
Les infirmières dansent, l'éclat d'une délivrance
Par-delà les larmes, elles tissent des sourires,
Des remèdes d'amour, contre les maux à élire.
Dans le silence des chambres, résonne leur présence,
Des fées bien réelles, réparant la résilience.
L'aube éclaire leurs pas, mais l'étoile persiste,
Infirmières héroïques, dans le cœur qui résiste.
Merci pour chaque geste, pour chaque battement,
Votre amour, notre bouclier, notre éternel enchantement.
Veillent sur les vies fragiles, avec tant de murmures.
Anges blancs des hôpitaux, gardiennes de l'espoir,
Leurs mains sont des étoiles, guérissant chaque soir.
Au cœur des épreuves, sur le front de la bataille,
Infirmières au combat, leur dévouement scintille.
Blouses blanches comme des ailes, volant dans la nuit,
Leur mission sacrée, écrire des destins qui s'évitent.
Sur le chemin des douleurs, elles sont des phares,
Des sorcières bienveillantes, chassant les cauchemars.
L'aiguille de la guérison, dans leurs doigts précis,
Coud les plaies de la nuit, comme des fils de répit.
Dans le silence des couloirs, résonne leur douce voix,
Chuchotant des consolations, éloignant le froid.
Des murmures d'espoir, dans l'ombre des souffrances,
Les infirmières dansent, l'éclat d'une délivrance
Par-delà les larmes, elles tissent des sourires,
Des remèdes d'amour, contre les maux à élire.
Dans le silence des chambres, résonne leur présence,
Des fées bien réelles, réparant la résilience.
L'aube éclaire leurs pas, mais l'étoile persiste,
Infirmières héroïques, dans le cœur qui résiste.
Merci pour chaque geste, pour chaque battement,
Votre amour, notre bouclier, notre éternel enchantement.
Auteur : Christian JAGORD 29.12.2023 ( texte déposé )
(6) L’âme du désert …
Dans l'immensité, où ciel et terre s'étreignent,
S'étend la mer dorée que le soleil baigne.
Chaque grain de sable, chaque dune enchantée,
Raconte des histoires de silence et beauté.
Le désert, royaume de la solitude sacrée,
S'ouvre comme un livre de secrets et de fées.
Le silence règne en maître, profond et absolu,
Enveloppant l'âme d'une paix incongrue.
Le temps s'y suspend, chaque instant se dilate,
L'esprit s'évade, dans l'infini, il éclate.
Les nuits, sous la lune, argentée et discrète,
Révèlent des merveilles dans un océan de fête.
Les étoiles brillent, constellations lointaines,
Un ballet silencieux d'astres et de silènes,
Le vent murmure doucement sur les dunes,
Ajoutant sa mélodie à l'éclat des lacunes.
Le désert est un poème, un chant envoûtant,
Célébrant la nature, majestueuse et troublant.
Austère et puissant, il invite à contempler,
La beauté brute, sereine, et à méditer.
L'homme redevient poussière, ombre infinie,
Dans cette étendue, humble devant l'harmonie.
Dans ce silence sacré, le désert se révèle,
Pureté intacte, mystère qui ensorcèle.
Un hymne à la simplicité, une plénitude,
Le désert nous enseigne l'essentiel en quiétude :
Écouter le silence, admirer l'instant,
Trouver en soi la paix, semblable à l’embrasement.
S'étend la mer dorée que le soleil baigne.
Chaque grain de sable, chaque dune enchantée,
Raconte des histoires de silence et beauté.
Le désert, royaume de la solitude sacrée,
S'ouvre comme un livre de secrets et de fées.
Le silence règne en maître, profond et absolu,
Enveloppant l'âme d'une paix incongrue.
Le temps s'y suspend, chaque instant se dilate,
L'esprit s'évade, dans l'infini, il éclate.
Les nuits, sous la lune, argentée et discrète,
Révèlent des merveilles dans un océan de fête.
Les étoiles brillent, constellations lointaines,
Un ballet silencieux d'astres et de silènes,
Le vent murmure doucement sur les dunes,
Ajoutant sa mélodie à l'éclat des lacunes.
Le désert est un poème, un chant envoûtant,
Célébrant la nature, majestueuse et troublant.
Austère et puissant, il invite à contempler,
La beauté brute, sereine, et à méditer.
L'homme redevient poussière, ombre infinie,
Dans cette étendue, humble devant l'harmonie.
Dans ce silence sacré, le désert se révèle,
Pureté intacte, mystère qui ensorcèle.
Un hymne à la simplicité, une plénitude,
Le désert nous enseigne l'essentiel en quiétude :
Écouter le silence, admirer l'instant,
Trouver en soi la paix, semblable à l’embrasement.
Auteur : Christian JAGORD (texte déposé N° D54100-1814)
(5) Médoc que J’aime.
Médoc que j’aime, terre d'émerveillements infinis,
Océan sauvage, éternel compagnon de nos rivages,
Ses vagues chantent des mélodies d’azur,
Étreignant nos plages de sable doré,
Où les souvenirs se gravent, intemporels.
Grands lacs d'eau douce, miroirs des cieux,
Où se perdent les rêves des âmes vagabondes,
Les forêts de pins murmurent des secrets anciens,
Leur parfum résineux embaume l'air,
Refuge des oiseaux et des songes égarés.
Vignobles majestueux, gardiens de notre héritage,
La route des beaux châteaux viticoles se déploie,
Écrin de ce terroir exceptionnel,
Les vignes, parées de rubis et d’or,
Offrent aux papilles le nectar des dieux.
L’estuaire de la Gironde, vaste et indompté,
Berceau de nos terres sauvages,
Là où la nature règne en maître,
Et où les chasseurs traquent l’ombre du gibier,
Les cèpes, trésors des sous-bois, attendent patiemment.
Destination nature par excellence,
Le Médoc dévoile ses stations balnéaires familiales,
Écrins de douceur pour des moments partagés,
Entre rires et horizons infinis,
Chaque instant est une promesse de bonheur.
Le Médoc est un trésor patrimonial,
Où chaque pierre murmure l'histoire des siècles,
Le Phare de Cordouan, “Versailles de la Mer”,
Garde fidèle des marins et des rêves d’antan,
Illumine les nuits, phare des âmes égarées.
Médoc que j’aime, en toi se mêlent toutes les beautés,
Entre océan, forêts, et vignobles enchanteurs,
Tu es la symphonie de la nature et du cœur,
Terre bénie où le temps suspend son vol,
Havre de paix, écrin d’éternité.
Océan sauvage, éternel compagnon de nos rivages,
Ses vagues chantent des mélodies d’azur,
Étreignant nos plages de sable doré,
Où les souvenirs se gravent, intemporels.
Grands lacs d'eau douce, miroirs des cieux,
Où se perdent les rêves des âmes vagabondes,
Les forêts de pins murmurent des secrets anciens,
Leur parfum résineux embaume l'air,
Refuge des oiseaux et des songes égarés.
Vignobles majestueux, gardiens de notre héritage,
La route des beaux châteaux viticoles se déploie,
Écrin de ce terroir exceptionnel,
Les vignes, parées de rubis et d’or,
Offrent aux papilles le nectar des dieux.
L’estuaire de la Gironde, vaste et indompté,
Berceau de nos terres sauvages,
Là où la nature règne en maître,
Et où les chasseurs traquent l’ombre du gibier,
Les cèpes, trésors des sous-bois, attendent patiemment.
Destination nature par excellence,
Le Médoc dévoile ses stations balnéaires familiales,
Écrins de douceur pour des moments partagés,
Entre rires et horizons infinis,
Chaque instant est une promesse de bonheur.
Le Médoc est un trésor patrimonial,
Où chaque pierre murmure l'histoire des siècles,
Le Phare de Cordouan, “Versailles de la Mer”,
Garde fidèle des marins et des rêves d’antan,
Illumine les nuits, phare des âmes égarées.
Médoc que j’aime, en toi se mêlent toutes les beautés,
Entre océan, forêts, et vignobles enchanteurs,
Tu es la symphonie de la nature et du cœur,
Terre bénie où le temps suspend son vol,
Havre de paix, écrin d’éternité.
Auteur : Christian JAGORD 12.07.2024 (texte déposé n°D54594-18414)
(4) j'aime l'océan tumultueux
J’aime l’océan tumultueux…
Dans l'océan tumultueux, où le vent rugit fort,
Je me perds dans les vagues, dans leur danse et leur sort,
J'aime le bruit puissant, la symphonie marine,
Qui résonne en mon âme, comme une mélodie divine.
Les reflets d'argent dansent sur les flots azurs,
Étincelles éphémères, éclats de l'aventure,
Je contemple ce spectacle, cet océan en furie,
Et je me sens vivant, emporté par l'infini.
Les couleurs changeantes, miroir de l'âme de l'eau,
Du bleu profond au vert émeraude, je me noie,
Dans ce kaléidoscope, ce tableau en mouvement,
Où la vie se déploie, dans un élan vibrant.
Les mouvements tourbillonnants, tour à tour doux et sauvages,
Évoquent les passions, les rêves et les voyages,
Je m'abandonne à leur rythme, à leur élan fougueux,
Car dans l'océan tumultueux, je trouve un précieux.
Entre calme et tempête, entre silence et cri,
L'océan est mon refuge, mon havre de vie,
J'aime sa force brute, son immensité sans fin,
Dans ses tumultes secrets, je me sens enfin.
Ainsi, je célèbre l'océan, source d'inspiration,
Dans ses flots impétueux, je trouve ma passion,
Et dans chaque vague, chaque éclat de lumière,
Je découvre la beauté, l'éternelle prière.
Dans l'océan tumultueux, où le vent rugit fort,
Je me perds dans les vagues, dans leur danse et leur sort,
J'aime le bruit puissant, la symphonie marine,
Qui résonne en mon âme, comme une mélodie divine.
Les reflets d'argent dansent sur les flots azurs,
Étincelles éphémères, éclats de l'aventure,
Je contemple ce spectacle, cet océan en furie,
Et je me sens vivant, emporté par l'infini.
Les couleurs changeantes, miroir de l'âme de l'eau,
Du bleu profond au vert émeraude, je me noie,
Dans ce kaléidoscope, ce tableau en mouvement,
Où la vie se déploie, dans un élan vibrant.
Les mouvements tourbillonnants, tour à tour doux et sauvages,
Évoquent les passions, les rêves et les voyages,
Je m'abandonne à leur rythme, à leur élan fougueux,
Car dans l'océan tumultueux, je trouve un précieux.
Entre calme et tempête, entre silence et cri,
L'océan est mon refuge, mon havre de vie,
J'aime sa force brute, son immensité sans fin,
Dans ses tumultes secrets, je me sens enfin.
Ainsi, je célèbre l'océan, source d'inspiration,
Dans ses flots impétueux, je trouve ma passion,
Et dans chaque vague, chaque éclat de lumière,
Je découvre la beauté, l'éternelle prière.
Christian JAGORD 18.03.2024 ( texte déposé )
(3) Coureur de marathon (42,195 km)
La course du marathon, épopée des temps modernes,
Où chaque foulée devient une strophe,
Où chaque respiration rythme le chant
D’un corps en quête d’éternité.
Sous les cieux immenses, les pas résonnent,
Symphonie de l’effort et du courage,
Comme un poème écrit sur le pavé des rues,
Traçant des vers d’espoir et de volonté.
Le départ, une explosion d’étoiles humaines,
Les visages concentrés, les regards vers l’horizon,
Chacun portant en lui le feu sacré
D’un rêve longuement caressé.
Les premiers kilomètres, tels des vers libres,
Racontent l’histoire d’un cœur léger,
Chaque virage une nouvelle rime,
Chaque montée un vers suspendu.
Mais voici l’heure des tourments,
Où le corps se fait lourde prose,
Les muscles crient, les poumons brûlent,
Mais l’âme, elle, s’élève et se dresse.
Le trente-cinquième kilomètre, c’est l’épreuve,
L’endroit où les poètes se mesurent,
Où l’esprit transcende la matière,
Où la volonté devient la plume, l’effort l’encre.
Puis, au détour du dernier virage,
L’ultime rime, le point final,
La ligne d’arrivée se dévoile,
Offrant au poète coureur la gloire et la paix.
L’ovation du public, le baume des mots,
Acclame l’héroïsme des modernes aèdes,
Car le marathon, c’est plus qu’une course,
C’est un poème inscrit dans la chair et l’âme.
Où chaque foulée devient une strophe,
Où chaque respiration rythme le chant
D’un corps en quête d’éternité.
Sous les cieux immenses, les pas résonnent,
Symphonie de l’effort et du courage,
Comme un poème écrit sur le pavé des rues,
Traçant des vers d’espoir et de volonté.
Le départ, une explosion d’étoiles humaines,
Les visages concentrés, les regards vers l’horizon,
Chacun portant en lui le feu sacré
D’un rêve longuement caressé.
Les premiers kilomètres, tels des vers libres,
Racontent l’histoire d’un cœur léger,
Chaque virage une nouvelle rime,
Chaque montée un vers suspendu.
Mais voici l’heure des tourments,
Où le corps se fait lourde prose,
Les muscles crient, les poumons brûlent,
Mais l’âme, elle, s’élève et se dresse.
Le trente-cinquième kilomètre, c’est l’épreuve,
L’endroit où les poètes se mesurent,
Où l’esprit transcende la matière,
Où la volonté devient la plume, l’effort l’encre.
Puis, au détour du dernier virage,
L’ultime rime, le point final,
La ligne d’arrivée se dévoile,
Offrant au poète coureur la gloire et la paix.
L’ovation du public, le baume des mots,
Acclame l’héroïsme des modernes aèdes,
Car le marathon, c’est plus qu’une course,
C’est un poème inscrit dans la chair et l’âme.
Auteur : Christian JAGORD - texte déposé N°D54243-18414
(2) La chanson déjantée ...
Dans une galaxie lointaine, un chat volant
Avec des chaussettes multicolores, très flamboyant
Il dansait sur la Lune, en chantant des bêtises
Les étoiles éclataient de rire, c'était une folie promise
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Un pingouin jonglant avec des ananas
Un éléphant en tutu, dansant le tango
Des licornes volantes jouant de la cornemuse
Dans ce monde fou, la normalité s'amuse
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Les carottes dansent la salsa, les poissons chantent l'opéra
Les grenouilles font du rock, les araignées jouent du jazz
Tout est permis, rien n'a de sens
Dans cette chanson folle, laisse-toi emporter par l'absence
Les extraterrestres organisent une fête
Avec des bulles de savon et des confettis en tête
Les nuages sont en sucre, la pluie est en bonbons
Dans ce monde imaginaire, tout est à l'envers, c'est bon
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Alors, ferme les yeux et laisse ton esprit s'évader
Dans cette chanson déjantée, où tout peut arriver
Oublie le quotidien, envole-toi vers l'irréel
Et danse, chante, ris dans ce monde parallèle.
Avec des chaussettes multicolores, très flamboyant
Il dansait sur la Lune, en chantant des bêtises
Les étoiles éclataient de rire, c'était une folie promise
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Un pingouin jonglant avec des ananas
Un éléphant en tutu, dansant le tango
Des licornes volantes jouant de la cornemuse
Dans ce monde fou, la normalité s'amuse
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Les carottes dansent la salsa, les poissons chantent l'opéra
Les grenouilles font du rock, les araignées jouent du jazz
Tout est permis, rien n'a de sens
Dans cette chanson folle, laisse-toi emporter par l'absence
Les extraterrestres organisent une fête
Avec des bulles de savon et des confettis en tête
Les nuages sont en sucre, la pluie est en bonbons
Dans ce monde imaginaire, tout est à l'envers, c'est bon
La chanson déjantée, complètement zinzin
Oublie tes soucis, entre dans le tourbillon
Le monde est trop sérieux, il faut le bousculer
Laisse-toi emporter, dans l'univers délirant de l'insensé
Alors, ferme les yeux et laisse ton esprit s'évader
Dans cette chanson déjantée, où tout peut arriver
Oublie le quotidien, envole-toi vers l'irréel
Et danse, chante, ris dans ce monde parallèle.
Auteur : Christian JAGORD - texte déposé N°D54243-18414
(1) SUR LE MUR DE FACEBOOK
Sur le mur de Facebook, ça like à tout va,
Des pokes, des partages, on ne s'arrête pas.
Entre les statuts et les selfies un peu fous,
C'est l'histoire comique de nos vies, c'est fou.
Au réveil, je checke mon profil avec zèle,
Les notifications clignotent, comme une ritournelle.
Des amis, des demandes, des requêtes en pagaille,
Facebook, ce cirque, où chaque like m'égaille.
Les parents, les grands-parents, tous y sont connectés,
Commenter mes photos, avec des cœurs étoilés.
Les amis d'enfance, perdus dans le temps,
Retrouvés sur Facebook, c'est un boniment.
Entre les lol et les hahaha, les émoticônes volent,
Les conversations virtuelles, où le rire s'envole.
Les disputes en commentaire, un grand débat,
Sur le mur de Facebook, chacun donne son éclat.
Les événements créés, pour une soirée mémorable,
Mais finalement, on reste devant l'ordinateur confortable.
Les check-ins à foison, on sait où tu te trouves,
Facebook, notre GPS, pour que le monde s'écroule.
Alors sur le mur de Facebook, je laisse ma trace,
Entre les chats mignons et les citations de grâce.
C'est le grand bal virtuel, où chacun fait sa danse,
Et moi, je clôture ma chanson, avec un dernier like, d’avance.
Des pokes, des partages, on ne s'arrête pas.
Entre les statuts et les selfies un peu fous,
C'est l'histoire comique de nos vies, c'est fou.
Au réveil, je checke mon profil avec zèle,
Les notifications clignotent, comme une ritournelle.
Des amis, des demandes, des requêtes en pagaille,
Facebook, ce cirque, où chaque like m'égaille.
Les parents, les grands-parents, tous y sont connectés,
Commenter mes photos, avec des cœurs étoilés.
Les amis d'enfance, perdus dans le temps,
Retrouvés sur Facebook, c'est un boniment.
Entre les lol et les hahaha, les émoticônes volent,
Les conversations virtuelles, où le rire s'envole.
Les disputes en commentaire, un grand débat,
Sur le mur de Facebook, chacun donne son éclat.
Les événements créés, pour une soirée mémorable,
Mais finalement, on reste devant l'ordinateur confortable.
Les check-ins à foison, on sait où tu te trouves,
Facebook, notre GPS, pour que le monde s'écroule.
Alors sur le mur de Facebook, je laisse ma trace,
Entre les chats mignons et les citations de grâce.
C'est le grand bal virtuel, où chacun fait sa danse,
Et moi, je clôture ma chanson, avec un dernier like, d’avance.
Christian JAGORD 22.12.2023 ( texte déposé )
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